Mouvement des Cuisines Nourricières

Expertises : Cuisine - Nutrition – Restauration collective

Bien manger, mieux nourrir

Le MCN fait le lien entre les différents facteurs qui font la qualité de notre nourriture et forment un système à part entière.
Il souligne le rôle central des cuisines de tous les jours et de ceux qui les préparent pour nourrir les populations sur leurs lieux de vie, à la cantine ou à la maison.
Il promeut des pratiques culinaires simples et efficaces, adaptées au contexte et aux enjeux du quotidien, qui favorisent une transition alimentaire positive, respectueuse des enjeux sociétaux et environnementaux, … savoureuse et joyeuse !
Il contribue à la construction d’un patrimoine commun d’intérêt général : celui des Cuisines Nourricières.

Nos missions

Améliorer la qualité des repas dans toutes leurs dimensions, de l’approvisionnement jusqu’à l’accompagnement des convives.
Placer l’acte culinaire au centre des politiques de transition, pour renforcer les liens entre producteurs, décideurs, cuisiniers et mangeurs.
Transmettre une culture culinaire nouvelle qui propose de passer du comment au pourquoi, afin de développer l’autonomie des acteurs.

Nos actions

Formation des professionnels de l’alimentation et du travail social aux méthodes des cuisines nourricières.
Accompagnement et conseil auprès des collectivités pour la construction et la conduite de projets alimentaires et culinaires. Diagnostic de système de restauration et accompagnement à leur évolution
Sensibilisation, information, éducation et accompagnement d’initiatives œuvrant pour la transition alimentaire

Pourquoi adhérer à ce projet collectif ?

L’approche des Cuisines Nourricières rejoint le projet collectif : réflexions et actions autour des systèmes alimentaires et de l’évolution des métiers, convergence avec les méthodes de l’économie de la fonctionnalité pour l’accompagnement des transitions et la construction des offres de formations.

Participer au projet de Travail & TransitionS, c’est développer la coopération ; ne pas séparer l’action de l’analyse ; questionner nos pratiques, les enrichir ; conserver notre singularité tout en participant à une construction collective.